Publié le 25 septembre 2025
Mis à jour le 25 septembre 2025
Trop vert pour être vrai ? Acheteurs, ne tombez pas dans les pièges de l’écoblanchiment !
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Biologique, durable, recyclable, écoconçu… Les mentions environnementales se multiplient sur nos vêtements, cosmétiques ou produits ménagers, dans les communications commerciales destinées aux consommateurs, mais aussi dans les offres d’opérateurs dans la commande publique. En tant qu’acheteur public, vous pouvez aussi être victime de pratiques commerciales déloyales. Comment reconnaître les produits qui utilisent à tort ces allégations ? Comment éviter les pièges de l’écoblanchiment ou du greenwashing ? Comment être assuré des qualités environnementales d’un produit ? La DGCCRF vous conseille.
« Le piège de l’apparence », « Le piège de la promesse excessive » et « Le piège de la promesse non prouvée » : trois vidéos de sensibilisation, que complètent des ressources documentaires, permettent de mieux connaître quelques « grosses ficelles » du greenwashing pour mieux s’en prémunir.
Les acheteurs, publics comme privés, pourront ainsi être plus vigilants, dès l’élaboration des clauses environnementales de leurs cahiers des charges, pour demander des informations précises sur les performances environnementales des biens et services et éviter les discours trop généraux ou imprécis, mais aussi lors de l’examen des offres des candidats, en demandant le cas échéant des justificatifs des allégations environnementales ou des labels mis en avant, puis dans le suivi de l’exécution des marchés.
Et si vous constatez une offre suspecte d’écoblanchiment, ou que l’exécution du marché révèle un décalage avec les promesses commerciales qui étaient faites, vous pouvez aussi vous tourner vers la DGCCRF : en France, le droit des pratiques commerciales déloyales protège aussi les professionnels.